Bonjour et bienvenue
Cela fait des millénaires que l'Homme découvre-décrit, construit-détruit, transmet-vole. Paradoxe inoui, après nous être développés et devenus des êtres communiquants, la parole ne sert plus à partager du sens. Une évolution irrationnelle a transformé le Verbe en proto-langage, un système de signes-codes qui sèment la discorde. Nous régressons en capacité d'intuition-discernement :
- Loi arrêt artificialisation des sols
- Jusqu'à 4.28 : Massacre à Nantes : quand l'idéologie écologiste provoque des drames
- Autoroute A69
- Journée nationale contre le harcèlement scolaire
Or, dotés de raison et de sensibilité, nous avons besoin que notre langue d'usage tisse des liens entre nous et nous relie à notre monde ; que nous nous sentions en sécurité. Ce n'est pas le cas. Nos vies sont marquées par une insécurité morale-environnementale. Une insécurité initiale nous aura-t-elle contraint à une politesse de façade et à tout tolérer même contre notre intérêt-tranquillité ? Ou bien notre conduite conventionnelle acquise/apprise aura-t-elle favorisé les conditions de l'insécurité ?
Dans tous les cas, nous avons un besoin urgent d'un retour à la raison. Je partage ma réflexion et vous propose d'y prendre part. Voici mon idée.
Les articles qui paraîtront dans ce blog vous en donneront l'occasion ainsi que les contenus des livres que je m'apprête à publier.
Les livres sont en cours de re-re-relecture/écriture. Vous serez informés de leur parution sur cette page. En attendant, je publie ici 3 extraits pour donner un aperçu d'un proto-langage démocratisé.
A bientôt
Riéna Whouar
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Quelques bribes pour illustrer :
- … Museler l’expression indépendante au nom de la protection de la liberté d’expression ; invoquer une préférence nationale en même temps que l'on organise / gère une immigration clandestine massive ; étrangler l’instruction indépendante quand l’École produit un échec scolaire national ; sanctionner / menacer / faire du chantage pour bien éduquer.
- Dans un registre de pure politique, un proto-langage hors gabarit :
- Général WESLEY CLARK : Pour un grand Israël : Jusqu’à 2.56 minutes
- Jean-Dominique Michel, L’état profond contre les populations : 1h01 à 1h05.
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Notre besoin de raison ne se satisfera pas tout seul. Pour que le sens soit restauré entre nous, il faut faire l'expérience de notre capacité de raison. Cela demande que nous découvrions les conditionnements qui nous dirigent et sont devenus une seconde nature. Il faut donc faire un pas vers sa première nature ; qui nous va comme un gant. Cela demande un effort de volonté : se conduire en concordance avec son intérêt-sécurité-bien être personnel.
A première vue c'est contraire à la morale. Sauf que de cet égoïsme réfléchi découle en réalité le bien-être de tous. Réfléchissons...
En se contraignant (par habitude, politesse, timidité) on crée soi-même les conditions de son inconfort : frustration, tensions, rancoeur, fatigue, conflits. Sans qu'autrui sache que l'on se contraint. Que l'on se montre indifférrent ou reconnaissant, ce sera sur une violence faite à soi-même qui, de plus, induit autrui en erreur sur soi.
Il peut donc être utile de prendre conscience des freins qui maintiennent dans un état qui n'est pas le sien, et de faire l'effort de les desserrer ; petit à petit. Il peut suffire de quelques expériences volontaires faites chez soi, avec soi-même pour seul spectateur/juge. L'objectif étant, si l'on en éprouve le besoin ou l'envie, de découvrir à la fois ses résistances (au changement) et sa capacité à surmonter des habitudes qui font de soi un automate conditionné à reproduire des vérités conventionnelles absorbée à son insu.
En se connaissant mieux soi-même, on remet plus aisément la raison à sa place entre soi et autrui, et participe à un rééquilibrage des rapports et des énergies en présence.
Vous souhaitez faire une telle expérience ? Faites-moi signe.